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Parrainage et soutien indéfectible du Festival Zogben: Jacques AYADJI fidèle à la vision de MOELE-BÉNIN

Grâce au parrainage du président du parti MOELE-BÉNIN, Dr Jacques AYADJI, le Festival International Zogben a, une fois encore, égaillé les habitants de la ville de Parakou, mais aussi, mettre la lumière sur les danses patrimoniales, récits oraux, rituels du Fâ et spiritualités endogènes. Ce soutien est sans nul doute la logique de sa vision et celle de son parti politique à prôner ‘’le patriotisme économique’’. En acceptant de parrainer cette édition dudit festival, Jacques AYADJI a réaffirmé son attachement aux idéaux que prône son parti. C’est-à-dire de « produire ce que l’on consomme et de consommer ce que l’on produit ». En effet, depuis sa création, le Festival Zogben s’est imposé comme une initiative ambitieuse, profondément enracinée dans la tradition, mais résolument tournée vers la modernité. Et si cette vision a pu se pérenniser, c’est en grande partie grâce à l’accompagnement indéfectible de son parrain. Plus qu’un soutien annuel, Jacques AYADJI est devenu un pilier du projet, un acteur engagé pour l’émergence d’une diplomatie culturelle intérieure. Sa lecture politique de la culture en tant que levier de paix, d’inclusion territoriale et de dialogue intercommunautaire fait écho à la vision du Chef de l’État qui avait déclaré que : « Nous allons investir massivement pour révéler au monde ce que nous avons de particulier. » Et ce que le Bénin a de particulier, le Zogben l’a magnifiquement révélé à Parakou. Le message a été reçu avec fierté et joie sur les visages des milliers de festivaliers. C’est en cela que la promotrice du festival, Imelda BADA n’a pas manqué de le remercier à la clôture de l’évènement.  « Le Festival International Zogben, ce n’est pas seulement un événement culturel, c’est un outil politique d’unification, un espace de transmission, un pacte avec l’avenir. Et s’il vit aujourd’hui, c’est grâce à l’engagement structurant de son parrain, Dr Jacques AYADJI, qui en est le socle stratégique », a fait savoir Imelda BADA. Le succès de cette édition a laissé des échos dans les mémoires et les festivaliers se donnent rendez-vous l’année prochaine dans le département de l’Ouémé pour une nouvelle édition.

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