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Tension: Comment les espions et pilotes israéliens ont neutralisé la riposte iranienne ?

L’attaque israélienne contre les infrastructures militaires et nucléaires iraniennes, survenue dans la nuit du 30 au 31 mai, ne s’est pas limitée à une démonstration de force aérienne. Derrière l’opération, un travail de sabotage méticuleux, une infiltration en profondeur et une stratégie d’anticipation redoutablement efficace ont permis à Israël de désamorcer la riposte iranienne avant même qu’elle ne commence.

Les commandants iraniens visés dès les premières minutes

Alors que l’imminence d’une frappe israélienne devenait claire, les commandants de la force aérienne des Gardiens de la révolution iranienne (IRGC) se sont réfugiés dans un bunker sécurisé pour organiser la riposte. Mais Israël connaissait l’emplacement exact de ce bunker, ainsi que les procédures d’urgence de l’armée iranienne. Résultat : le site a été détruit dès les premières minutes de l’attaque, tuant non seulement le commandant en chef, mais également les responsables des unités de drones et de la défense aérienne.

« L’absence de leadership immédiat a complètement neutralisé la riposte iranienne », a déclaré un haut responsable israélien.

Une décapitation ciblée du commandement militaire iranien

Ce bunker n’était que l’un des nombreux sites stratégiques visés par Israël. En tout, plus de vingt-cinq commandants militaires iraniens ont été tués. Parmi eux : les chefs de l’état-major de l’IRGC, de l’armée régulière iranienne, ainsi que ceux du quartier général militaire d’urgence. Objectif : paralyser les capacités de commandement et de coordination iraniennes dans les premières heures du conflit, empêcher toute réponse structurée, et créer un effet de chaos stratégique.

Supériorité aérienne israélienne grâce à une frappe préalable sur les radars

Avant même que les avions de combat israéliens ne pénètrent l’espace aérien iranien, les sites radar et les systèmes de défense aérienne avaient été minutieusement cartographiés par les services de renseignement. La majorité d’entre eux ont été frappés dès le début, offrant ainsi à l’armée de l’air israélienne une liberté totale d’action dans le ciel iranien.

En parallèle, le Mossad, les services secrets israéliens, ont lancé une série d’opérations de sabotage clandestines au sol pour neutraliser les batteries de missiles sol-air et les lanceurs de missiles balistiques.

Le Mossad, acteur clé de la désactivation des défenses iraniennes

Selon un haut responsable du renseignement israélien, plusieurs centaines d’agents du Mossad ont été mobilisés, à la fois en Iran et depuis l’étranger. Parmi eux, une unité spéciale composée d’Iraniens recrutés et formés par Israël. Dans le centre du pays, des commandos du Mossad avaient placé discrètement des systèmes d’armement guidés à proximité de lanceurs de missiles, dissimulés à l’air libre. À l’instant précis de l’attaque, ces armes ont été déclenchées pour détruire les batteries de défense locales. D’autres dispositifs, cachés dans des véhicules ou intégrés à des infrastructures civiles, ont également été activés pour frapper des cibles clés.

Des drones israéliens lancés depuis l’intérieur du territoire iranien

Israël avait également mis en place, bien avant l’offensive, une base secrète de drones d’attaque à l’intérieur de l’Iran. Ces drones, acheminés discrètement et stockés en lieu sûr, ont été déployés au moment de la frappe principale. L’un des objectifs majeurs : détruire les lanceurs de missiles balistiques stationnés sur la base d’Esfajabad, près de Téhéran. Ces missiles étaient censés être lancés vers Israël en cas d’agression. Résultat : la majorité ont été neutralisés avant même leur activation.

Un scénario catastrophe évité de justesse

Selon le renseignement israélien, l’Iran se préparait à lancer entre 300 et 500 missiles balistiques vers Israël en représailles. Grâce à l’effet de surprise et à l’élimination des structures de commandement, ce plan a été totalement déjoué. Au lieu de cette riposte massive, l’Iran n’a envoyé qu’une centaine de drones plusieurs heures après l’attaque, tous interceptés sans difficulté.

Israël continue de frapper pour empêcher toute escalade

Les frappes israéliennes se sont poursuivies le lendemain dans diverses régions de l’Iran, visant les entrepôts de missiles, les lanceurs mobiles et d’autres infrastructures militaires sensibles. Dans un communiqué, les forces armées israéliennes ont déclaré :

« Des dizaines de rampes de lancement, de sites de stockage de missiles sol-sol et d’installations militaires ont été détruits. À l’ouest du pays, nous avons découvert un système de lancement dissimulé dans des conteneurs maritimes. »

Vers une riposte iranienne différée, mais plus massive ?

Malgré l’échec de sa première réponse, l’Iran promet une vengeance sanglante. Vendredi après-midi, les dirigeants de la République islamique ont déclaré qu’Israël paiera « le prix fort ». Selon plusieurs sources israéliennes, un barrage coordonné de missiles balistiques est toujours en préparation. « Ils cherchent à organiser une riposte plus structurée, de grande ampleur, capable de submerger nos systèmes de défense », a indiqué un officiel israélien.

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