La République a parlé, et Oké-Owo l’a entendue. Le mercredi 27 août, ce village stratégique, chef-lieu de l’arrondissement d’Okpara, situé au terminus l’axe bitumé inter-États numéro 5 reliant le Bénin au Nigéria, a vu se concrétiser une décision qui fera date. L’installation officielle d’un commissaire de police et l’arrivée prochaine de onze agents, marquant l’implantation d’un véritable dispositif sécuritaire voulu au plus haut sommet de l’État.
Cette avancée majeure n’est pas le fruit du hasard. Elle découle d’une volonté claire du président Patrice TALON, déterminé à rapprocher les forces de sécurité des populations, et à garantir la paix dans toutes les zones sensibles du pays. Soutenu par le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique, Alassane Séidou, et par le directeur général de la Police républicaine, le contrôleur général Brice Kokou Allowanou, le chef de l’État démontre, une fois encore, que la sécurité des citoyens reste une priorité absolue de son action gouvernementale.
Depuis plusieurs années, l’Association Générale des Résidents et Ressortissants pour le Développement d’Oké-Owo (AGROD) plaidait pour une présence policière permanente afin de protéger ce carrefour frontalier exposé aux menaces transfrontalières. La décision présidentielle d’y implanter un commissariat n’est pas seulement une mesure de sécurité, c’est un signal politique fort. Elle montre que le gouvernement écoute, agit et ne laisse aucune communauté à l’écart du progrès et de l’ordre républicain.
La population, venue en nombre ce mercredi, a exprimé avec émotion sa gratitude envers le chef de l’État, le ministre de l’Intérieur et le DGPR pour avoir répondu promptement à cet appel. Loin d’être un simple geste administratif, cette initiative traduit une vision, celle d’un Bénin sécurisé, où chaque localité, même la plus éloignée, est protégée et respectée.
Ce mercredi a été marqué par la présentation officielle du capitaine Victorin AGOSSOU, ancien commissaire du 4ᵉ arrondissement de Ouidah, nommé à la tête du commissariat d’Oké-Owo. La mission confiée à cet officier chevronné s’inscrit dans la droite ligne de l’engagement du président TALON qui est d’instaurer une police républicaine proche des citoyens, ferme dans l’action, mais respectueuse des droits et des valeurs démocratiques.
« Je suis ici pour servir et protéger, avec loyauté et proximité », a déclaré le capitaine AGOSSOU devant une foule enthousiaste, réaffirmant sa détermination à mettre en œuvre la politique de sécurité nationale impulsée depuis le sommet de l’État.
La vision TALON est claire, sécurité, développement et unité nationale. Depuis 2016, le président Patrice TALON n’a cessé de moderniser le dispositif sécuritaire béninois. La création de la Police républicaine et la réorganisation territoriale de la sécurité publique illustrent une stratégie claire. Faire de la sécurité un levier de développement et de cohésion sociale. L’installation du commissariat d’Oké-Owo illustre concrètement cette orientation politique.
En donnant suite à la demande de l’AGROD et des populations, le gouvernement prouve que la sécurité n’est pas un privilège réservé aux grands centres urbains, mais un droit garanti à tous, partout sur le territoire. C’est aussi un avertissement aux réseaux criminels et aux trafiquants : les frontières du Bénin ne sont pas des zones de non-droit, mais des lignes surveillées et protégées par l’État. Un message fort à toute la Nation.
En dotant Oké-Owo d’un commissariat, le président Patrice TALON rappelle que la République ne laisse personne en marge et que chaque citoyen, du nord au sud, de l’est à l’ouest, bénéficie de la même attention. Cette action conjointe du chef de l’État, du ministre de l’Intérieur et du DGPR confirme que l’autorité de l’État s’exerce partout et que la sécurité est la condition première du progrès.
Oké-Owo, désormais placée sous la vigilance renforcée de la Police républicaine, devient un symbole, celui d’un Bénin en marche vers plus d’ordre, plus de paix et plus de prospérité.
